Tout avant mon 1er Maroc, j'avais écrit . . . " Hey ! bienvenue dans mon jardin ! Bienvenue aussi sur le sable de ma plage , sous les rayons de mon soleil , sous l ' arc en ciel de mes orages , sous le ciel bleu de ma vie . . . je t ' ai gardé une petite place " . . .
un an après . . .
. . . dans le jardin : un carré de gazon , un ciel azur traversé par la trace d'un avion , en filigrane : 2 mêmes initiales . . .
un an plus tard . . .
. . . un strapontin qui se replie , une dune , interminable glissade , un désert , comme si un siège éjectable venait de survoler la terre .
Un an qui laisse le temps d ' observer , de réfléchir et parfois . . . d ' écrire . . . : P A R T I R
Reprendre la route à la croisée des chemins . . .
Un an pour programmer d ' autres horizons , d ' autres contrées , d ' autres projets . . . un an pour ré-apprendre à marcher .
J ' assume et dirige mes pas vers un autre toi(t) . . .
Sur le chemin qui m ' attend, il ne suffit pas de savoir marcher , va falloir crapahuter ! le sommet est encore haut . . . en solo, vraiment solo , pas sûre de savoir le capturer !
Alors , d ' un itinéraire déjà tracé à un chemin longeant l ' Atlas , il n 'y a qu ' un pas : il suffit juste de passer le gué .
Un an . . . même pas ! le départ, c'est dans quelques mois , et pour franchir le gué , va falloir s ' équiper . . .
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